L’ami d’enfance - marcineline desbordes-valmore desbord
Parmi les poétesses du milieu du 19e siècle, on compte Marceline Desbordes-Valmore, auteur connu des poésies inédites paru en 1860, dans celui-ci se trouve le poème « L'ami d'enfance ». Je vais analyser ce poème à l'aide de 3 axes, la présence du sujet écrivant, le rapport au monde et le rapport au langage point et pour terminer je mettrai ce texte en lien avec un texte vu en classe écrit par un poète du même courant.
On ressent clairement la patte …afficher plus de contenu…
On est jeune et innocent et puis on grandit et on apprend à ses dépens. On comprend aux 3 derniers vers du texte d'où vient la souffrance qu’éprouvait l'auteur
Tout d'abord, je peux retrouver des traces du sujet écrivant grâce à l'utilisation de la première personne du singulier “je” qu’on peut en effet trouver beaucoup de fois dans le poème et de l'utilisation des déterminants comme « mon jeune âge, ma voix tremblante » ou encore, grâce à la ponctuation qu'on retrouve avec des points d'exclamation où des points d'interrogation qui permette un doute et où donc marceline prend position et qui mettent bien en valeur la présence du sujet écrivain. Le « je » qui est souvent utilisé par marceline et qui fait référence à l’affirmation de la …afficher plus de contenu…
Plutôt j'ai parlé des sentiments troublés de Verlaine. On retrouve le sujet écrivant dans son histoire il était à Bruxelles avec son amant Arthur Rimbaud. « amante et amant, loin de la foire et loin de
Madame ». Il se sent à la fois bien d'être là avec un Rimbaud mais en même temps, il est troublé par autre chose. Il a peur d’être observé "Clignote l’œil du filou sournois”. De plus, la forme impérative est utilisée “Tournez”. Et il n’est pas subjective “ce cirque bête".
Les chevaux de bois sont synonymes de bonheur, de plaisir coupable dans le texte. Tout le monde peut éprouver du bonheur sur un cheval et aussi de l’amour. Il y a aussi une idée de bonheur éternel dans la première