lattre ouverte
Quoi qu'il en soit je pris l'administrateur pour faire le nécessaire et ce qui est juste pour que Monsieur le président le prenne en compte. votre page semble ma seul issue, je n'ai ni pouvoir matériel pour toucher les responsables ni un poste de pouvoir pour être entendu. j'ai juste pour acquis la crainte du tous puissant et la volonté du bon Dieu pour mes démarches, espérant toucher l' homme humain, croyant que vous êtes avant tous plutôt que le poste de journaliste que vous occupez. Tous d'abord je me présente comme étant une simple citoyenne , et si je vous fais part de mes préoccupations , je n'en finirai pas de parler car j'en ai beaucoup à dire. Mais ma démarche sur votre page est toute autre ma préoccupation actuelle et pour la baraque qui nous sert de maison. A vrai dire je suis en train de rédiger cette lettre avec désespoir et tristesse en espérant trouver bonne écoute. Tout a commencé après le tremblement de terre qui a frappé l'Algérie en 1989, je ne m'en rappelle pas parce qu'à cette époque je n'avais qu'un an, nous habitions Bab Jedid (la Casbah d'alger) et nous avions une maison comme toute famille normale, mais depuis le séisme nous avons occupé un chalet à Ben Aknoun , qui se situe plus précisément à l'école Ali
Ramli , à cette époque nous étions 9 familles, nous avons été hébergé dans cette école pour une période déterminée sous les promesses du
Wali d'Alger. 22 ans sont