L'aveu de la princesse de marianne
Je vous demande mille pardons, si j’ai des sentiments qui vous déplaisentSongez que pour faire ce que je faisIl faut avoir plus d’amitié et plus d’estime pour un mari que l’on en a jamais euConduisez-moi, ayez pitié de moi et aimez-moi encore si vous pouvezprésentatif « Il est vrai « tournure impersonnelle +concession le mot » périls » paraît disproportionné dans un tel contexte car les dangers encourus semblent moindres, ils ne sont pas physiques mais moraux, ce qui sous-entend que sa vie est lié à sa moralitéla PSR complément de du nom antécédent « périls » soulignent que les dangers qu’elle souhaite éviter sont le fait de son âgela négation partielle « ne jamais » renforcée par l’adjectif « nulle »Conditionnella PS circonstancielle de condition ici, introduite par la conjonction de subordination si= la PS circonstancielle d’hypothèse est ici coordonnée à la première par la conjonction « ou » qui marque l’alternative mais l’imparfait marque ici un irréel du …afficher plus de contenu…
(Ne fait jamais référence à Nemours, ne donne pas son nom). Elle reste très floue comme le montre l'emploi du terme « des raisons ». Elle procède par euphémisme. Elle conserve la bienséance et les manières propres à son rang et à son époque+ suscite par son habile argumentat° la compassion de son mari =, c’est-à-dire de sa jeunesse et de son manque d’expérience donc et qu’ils ne touchent pas toute une tranche d’âge ce qui est suggéré par l’adverbe de temps « quelquefois ». Elle se cache derrière