Lavie
Les sciences humaines ne se constituent pas par de simples analyses réflexibles, elles doivent aller chercher les faits la ou ils se cachent et pour cela elles doivent s'armer de procédures expérimentales et des théories.
La confrontation inlassable des hypothèses et des réalités est la commune entre la science et la modestie ,le contraste de plus en plus brutal entre un développement scientifique et technique sans précédent et l'ignorance relative ou les hommes se trouvent toujours de leurs propres motivations et de leurs propres mécanismes de conduite, quand aux sciences de la nature elles ont acquis leur lettre de noblesse , leur perfection , leur objet d'étude , entant la nature inconsciente elles ont pu se créer des méthodes appropriées pouvant avec assurance déterminer leur objet d'étude. Les sciences de la nature atteignent aussi leur projet à savoir l'objectivité du savoir, la connaissance adhérée de la nature cependant en sciences humaines l'objet d'étude est essentiellement différent de celui des sciences de la nature.
En effet l'homme est un être doué de raison ou de conscience et de ce fait l'être humain est celui la qui ajoute a l'existence banale, a une existence pensée et signifiante si bien qu'il semble échapper a toute mesure et a toute quantification ainsi le progrès des sciences humaines qui est l'homme, est il différent de celui des sciences de la nature?
Pouvons nous étudier l'homme comme on étudie la nature? Le progrès des sciences de la nature serait différent de celui des sciences humaines est ce que les disciplines appartenant aux sciences humaines sont foncièrement incohérentes ou bien est ce le fait de querelles étymologiquement et socialement entre chercheurs épris de polémique?
S'interroger sur sciences humaines revient a s'orienter vers l'homme c'est lui qui introduit l'hétérogénéité par rapport a la nature en effet l'homme appartient aux deux mondes qui sont le monde naturel notamment par son corps