Lazarillo
Le thème récurrent est l’honneur qu’il souhaite conserver, d’autres thèmes sont abordées comme la faim et la mort qui sont donc indissociable pour l’enfant (ce maître va être pire que les précédents.
Il nous raconte sous forme autobiographique comment se produit sa rencontre avec l’écuyer. Pour survivre L faisait du porte à porte quand il tomba sur un homme bien vêtu qui lui a fait très bonne impression. L’écuyer très bien vêtu, dégage une belle apparence, apparence qui est trompeuse. Il est tout le contraire de ce qu’il veut faire paraître. Il faisait parti de la noblesse mais il a tout perdu. Il fait parti de ces nobles ruinés qui n’ont plus que l’apparence et l’oisiveté pour faire croire qu’ils appartiennent à la haute noblesse. A l’époque le noble ne travaillait pas il percevait des revenus sans travailler.
A l’époque, le vêtement était un élément très important qui montrait la classe sociale à laquelle on appartient.
L trompé accepte de rentrer au service de cet homme. Il pense qu’il va bien le traiter et étant donnée son énorme richesse (qu’il déduit de par la tenu vestimentaire de l’hidalgo) il va bien le nourrir. Ils ont parcouru plusieurs villes et l’écuyer n’a rien acheté à manger.
L’apothéose c’est quand L découvre la maison dans laquelle vie cette homme vide de tout qu’il compare à une maison hantée. (sombre et lugubre).
Il finit par comprendre qu’il s’est fait duper par l’apparence de cet écuyer qui n’est en fait qu’une personne qui ne possède rien. Les rôles vont donc s’inverser ce n’est pas l’écuyer qui va nourrir l’enfant mais l’enfant qui va nourrir l’écuyer. Il va partager avec lui morceau de pain.
- Le je narratif