Le bal, d'irène némirovsky
En premier lieu, ce livre nous fait part de l'organisation d'un bal. Pour cette occasion, M. et Mme Kampf, invitent 200 personnes. «Assieds-toi là. Je vais te dicter les adresses.»(Page 17, ligne 241). Les invitations sont rédigées par leur fille, Antoinette. Ils commandent de la nourriture et du champagne, en abondance. «Les chaises rangées le long du mur, les musiciens autour du piano.» (page 70, ligne 1298) Pour améliorer leurs conforts, ils agrandissent les pièces, en déplaçant les meubles. Ils décorent la maison de bouquets de fleurs soigneusement préparés. Ils embauchent un orchestre pour accompagner les danseurs. Mme Kampf se prépare à recevoir ces invités grâce à des phrases d'accueil. Jusque ici, le titre semble bien choisit, toutes ses descriptions nous montrent l'importance du bal dans ce livre.
Le soir du bal, M. et Mme Kampf se pare du mieux qu'ils peuvent. Puisque nous sommes dans une société du paraître comme dans «Madame Bovary» de Gustave Flaubert. Une description massive des décors, de la richesse. Les personnes d'âges différents, ne se mélangent pas aux autres. Les préparatifs terminé, M. et Mme Kampf attendent leurs invités dans le salon. C'est à ce moment que l'action d'Antoinette intervient.
Nous pouvons appeler le livre «la vengeance». «Antoinette les