Le bilan de la politique africaine de sarkozy
Le quinquennat a commencé par l’acte manqué du discours de Dakar : la volonté affairiste ne s’embarrasserait pas de mépris, les services de l’état et le président de la République se rabaissaient déjà dans le rôle de représentant de commerce des multinationales françaises, l’ami du président, Bolloré en tête de file. Les anciens réseaux de la Françafrique type Chirac, Pasqua, Mitterrand étant devenus très peu opérants, des émissaires tels que Robert Bourgi se sont mis à représenter cette Françafrique en mutation, affaiblie par son apogée criminelle