Le boycott
Département de communication
1ère année de Master en Relations Publiques
Communication externe
COMU 2615
Boycott
Groupe n°4
Année académique 2010-2011
Sommaire
I. Introduction 4
II. Le boycott en général 6
1. Les entreprises 6
2. Les consommateurs 7
3. Les Médias 8
a. Internet 8
b. La presse 9
c. Les réseaux sociaux et les blogs 9
4. Les Etats 11
5. Le Lobbying 13
6. Les associations 14
III. Conclusion 17
IV. Bibliographie 19
Introduction
Le terme boycott est né en 1879. L’initiateur, Charles Cunningham Boycott[1], se vit infliger un blocus par la Ligue agraire car il ne voulait pas baisser les loyers de ses fermiers pendant la grande famine[2].
Aujourd’hui, il n’existe pas de définition unique du boycott. Tous les dictionnaires en donnent une différente. Mais nous pouvons en retenir deux en particulier :
« Un boycott est une entente volontaire visant à infliger un dommage financier ou moral à un individu, à une entreprise ou à un pays, par le refus systématique d'acheter ses marchandises, d'entretenir des relations (sociales, culturelles, économiques) ou de participer à un évènement public, à une élection. L'objectif de ce refus collectif est d'exercer des représailles ou de faire pression sur la cible pour qu'elle réponde à une demande précise »[3].
« Méthode de pression sur les individus ou les Etats. Le boycottage dans sa forme la plus simple est la décision prise par un individu ou un groupe d’individus de ne pas acheter un produit ou de ne pas acheter à un commerçant déterminé. On peut, à l’inverse, boycotter un commerçant en refusant de lui vendre un produit. Le boycottage, c’est en définitive l’art d’empêcher légalement un tiers de travailler »[4].
L’une de ces définitions montre que le boycott peut