Inegalités brésiliennes: pauvreté, inclusion et exclusion sociales à São Paulo

Profª. Drª. Maura Pardini Bicudo Véras

Les discours courants au Brésil, soit des intelectuels soit des gouvernants et des hommes publiques, se tournent, actuellement, vers la question du combat des profondes inégalités de la société nationale, et essaient de les décaractériser comme des procès naturels et aussi dénonce l’existence de deux configurations distinctes de citoyens (les inclus et les exclus), avec une délinéation diverse du respectif ensemble des droits et des devoirs. Si le débat se généralise en embrassant des secteurs de la société civile, des mouvements socials, des organisations non-gouvernementales, le gouvernement, à son tour, dans les plusieurs pouvoirs (exécutif, législatif et judiciaire), est en train de se dédier à quelques projets prioritaires tels que le combat à la famine et au chômage. Même dans la contemporanéité, que dans les Sciences Sociales on assiste à les polémiques crises paradigmatiques, c’est indubitable la recherche des outils conceptuels convenables à la compréhension et à l’intervention sociales. Une constatation commune fonde ce débat, presque consensuellement entre les studieux de ce sujet: celle de que les procès excludents et de la pauvreté se doivent à la profonde inégalité sociale du pays, puisque le Brésil n’est pas un pays pauvre, mais un pays avec beaucoup de pauvres. Il semble émerger, alors, dans la conscience de plusieures personnes la clarté de que un binôme est nécessaire: mettre fin à la pauvreté et combattre l’inégalité, puisque la vieille formule culinaire, présente pendant les années de la dictature, de que d’abord il fallait «grandir le gâteau » pour « après le répartir » est aujourd’hui totalement abandonnée. Même la recette de la « nouvelle cuisine » de que la solution c’est « croître, croître et croître » signifie aussi presque inertie puisque, en même temps, beaucoup de brésiliens seront morts, non seulement de faim,