Le ch mage peut mener la d linquance
Je suis de l’avis que le chômage n’est pas une partie significant dans la délinquance des jeunes, il pourrait y avoir des liens entre le nombre de jeune chômeurs et la somme de criminalité qui peuvent être constater – mais je crois que le problème réelle est la supervision et les sanctions quand ça vient à la délinquance juvénile.
Le chômage des 15-24 ans n’arrête pas d’augmenter. A la fin de 2010, son taux atteignait 24% alors que celui des 25-49 ans était de 8,5%. Néanmoins c’est vrai que la plupart des jeunes étudient et ne cherchent pas tous du travail à côté.
Par contre ce 24% cache une proportion de personnes au statut « indéfini »: ni en études, ni en emploi, ni en formation. C’est à dire 1 million des 8 millions de 15-24 ans. Bien que le candidat Sarkozy ait basé sa campagne autour du travail, son programme ne comportait aucune mesure spécifique pour l'emploi des jeunes. Mais, avec la crise, le gouvernement a relancé l'apprentissage.
Le 21 avril 2009, Nicolas Sarkozy a décidé d’agir. La crise prend place et se sont les jeunes qui sont les premières victimes. Sur le campus de « Veolia Environnement », il lance un plan de 1,3 milliard d'euros pour l'emploi des jeunes. Avec deux constituants: l'un qui connaît un succès, l'apprentissage.
L'autre qui se montre inefficace: les contrats aidés. Ce que cela veut dire est que, les entreprises de plus de 10 salariés qui recrutent un apprenti sont remboursées de l'équivalent d'un an de leur participation dans l’entreprise. C'est la mesure "zéro charge". Et celles de moins de 50 salariés perçoivent en plus une prime annuelle de 1.800 euros. Malgré la crise, ces systèmes ont contribué au maintien du nombre d'entrées en apprentissage à environ 420.000 en 2009. Quant aux emplois aidés, 50.000 contrats d'insertion dans la vie sociale destinés au secteur public sont créés ainsi