Le chat noir
Écrit à la première personne, cette nouvelle raconte la vie du narrateur, qui porte le nom fictif de William Wilson.
L’élément déclencheur qui chamboule la vie du narrateur débute dans une école anglaise, où celui-ci mène en roi sur les autres élèves, sauf un, qui porte le même nom et le même âge que lui. Ce double se met alors à calquer le comportement et les manières du narrateur. Le seul détail qui les différencie, c’est la voix du double qui ne peut pas s’élever au-delà d’un chuchotement. C’est là qu’une rivalité s’installe entre les deux. Trop irrité de ne pas avoir le dessus sur son ennemi, le narrateur quitte l’école pour poursuivre ses études à Oxford. Il entre ensuite dans un groupe de jeu de carte, où il ruine un jeune étudiant riche, jusqu’à ce que son double vienne encore lui mettre des bâtons dans les roues en dénonçant ses tricheries devant tous ces camarades. Forcé de quitter son école, il voyage à travers l’Europe, toujours déjoué par son double, jusqu’à un bal masqué, où le narrateur trouve son double habillé comme lui. La présence de son ennemi le rend très en colère. Il le provoque dans un combat à l’épée et en sort victorieux. À la fin du combat, le narrateur entend un bruit dans le corridor, il vérifie si les lieux sont bien fermés, mais lorsqu’il reporte ses yeux sur celui qu’il vient de tuer, il se retrouve devant son propre reflet, pâle et ensanglanté. Son double lui annonce alors qu’il s’est assassiné lui-même, puisqu’il vivait en lui. (En faisant la recherche sur la vie du narrateur on a trouvé moi et mon équipe on a trouvé que l’auteur a fait ses études dans une école anglaise dirigé par le révérend Bransby qui a le même nom du révérend de cette nouvelle).
Contenu :
Ce qui rend l’histoire intéressante, c’est que l’auteur fait en sorte de prouver que le double existe vraiment, qu’il n’est pas une illusion, entre autre lorsqu’il vient dénoncer la tricherie du narrateur aux cartes et qu’il y laisse son manteau. Il fait