Le Chemin D Alaric
Alaric alla comme tous les matins chercher de l’eau au puits du village. Il rencontra les gens heureux qui faisaient ses corvées sans aucune préoccupation, car le bon empereur Maomoa faisait régner la paix dans son royaume. Il avait réussie après des années de guerre, d’avoir la paix avec elfes, nains, djinns et divers créatures magiques. L’empire Maomoïs était riche, en sécurité et les gens étaient heureux avec des grandes terres et peu d’impôts. Cependant Alaric n’aimait pas ça, lui il était sanguinaire et ambitieux et il n’aimait pas la paix qui s’était instaurée. Ses parents était morts pendant la guerre, quand il avait à peine quinze ans. Maintenant, dix ans après il était devenu haut, fort et surtout très rusé. Il vivait isolé sur une colline, pas loin du village, où il traçait tout ses machiavéliques plans pour usurper le trône. Malheureusement pour lui il n’avait pas de force ni d’alliés suffisant pour se confronter à Maomoa. Cette faiblesse le rendait de plus en plus cruel chaque jour qui passait. Un jour il suivait la piste d’un vieux sanglier, et celle-ci l’emmena loin, au plus profond de la grande forêt, et là il trouva une splendide épée incrustée de rubis. L’épée était de couleur rouge comme le sang et un spectral allo sanglant l’enveloppée. Quand il allait prendre l’épée, un groupe masqué lui sauta au coup et l’assomma. Alaric se réveilla dans une grotte, entouré par cinq robustes guerriers : un elfe, un nain, un humain, un djinn et un sorcier d’aspects ténébreux. Quand il se leva, les cinq personnages s’inclinèrent devant lui et lui dirent qu’ils étaient plongés dans son esprit et que dorénavant il était le nouveau roi de sa communauté, Aerandir Taseartir (La Mort Obscure). Alaric ne comprenait rien, mais G’eld (l’elfe) l’expliqua que depuis 100 ans, eux les renégats, ils attendaient l’homme qui leur