LE CHEVALIER AU LION Approches D Une Chef D Oeuvre
I .) RIRES ET SOURIRES DNS LE ROMAN DU CHEVALIER AU LION – PHILIPPE MENARD
-le plus riche du comique et d’humour
-le mariage de Laudine et Y est traité avc virtuosité et ironie (F Whitehead)
-tt l’œuvre a un caractère paradoxal et plaisant (Whitehead)
-même si l’œuvre possède une signification morale, si elle est empreinte de sérieux, svt de pathétique, parfois de poésie, la part faite aux rires et aux sourires n’est pas négligeable
a.) présence et distribution des thèmes plaisantes
-les persos rient peu
-question d’un seul rire : Gauvain qnd il apprend les ruses de Lunete pr tirer d’affaire Yvain
-un récit peut pourtant ê piquant, alors que les persos sont sérieux
-l’émergence du mot « sosrire » a été lente au MA
-qnd on emploie le verbe « rire » c’est pas forcement un rire éclatant et sonore il désigne parfois un sourire discret, subtil
-il n’y a pas de comique outré, bouffon, extravagant loin de chansons de geste où on aime les coups épouvantables
-une nouvelle atmosphère surgit : celle de l’ambigüité
-le portrait caricatural du gardien des taureaux = talent comique de Chr.
-la chute de Keu est assurément amusante
-le dépit du seigneur du Château de Pesme Aventure
-l’auteur ne s’amuse pas très longtemps des mésaventures des persos secondaires
-Yvain fait figure d’un héros si prestigieux que ns n’avons pas envie de sourire
-le lion :
>remercie son bienfaiteur (3388-97)
>chasse comme un chien (3424)
>jette le chevreuil mort sur son dos comme un homme (3445)
>tente de se suicider (3509-19)
>vient au secours à Yvain (4213, 4515, 5621)
mais cela reste timide et à l’arrière-plan car l’intention d’introduction du lion = l’exaltation du héros
-l’essentiel est ailleurs – l’enjouement se trouve lié au développement du thème d’amour
-apparaît surtt dns la 1ère partie : jusqu’à 2540
-une fois la rupture est consommée le ton n’est plus si gai
-le mort est oublié ; celui qui l’a tué a pris la veuve pour femme ; tt le