Le chocolat
Thérapies à base de chocolat depuis les années 1522. Au début le chocolat était un moyen pour masquer le goût affreux de certains remèdes de l’époque horrible à avaler.
Plus tard, il a été décrit comme un ingrédient autonome ; il est capable de traiter des maladies.
- Les fèves de cacao étaient moulues et données à boire en solution diluée aux fiévreurs et à ceux ayant des maladies du foie ou des reins.
- Le marc du cacao (marc = résidus) mélangé avec des raisins étaient un remède contre la dysentérie.
- La boisson au cacao mélangée à la farine de maïs devenait une nourriture utile pour reprendre des forces (farine de maïs = également un fortifiant)
- Le chocolat chaud : un laxatif ; il favorise la digestion.
Le chocolat apporte beaucoup d’énergie (500 calories par 100 grammes), dont 60 % sous forme de glucides (sucres) et 30% sous forme de lipides (gras). Il apporte 5 % de protéines, il est riche en magnésium, phosphore et potassium. Il contient des vitamines, des substances toniques et stimulantes et des fibres. Et aussi des polyphénols, réputés bon pour le cœur et les vaisseaux car se sont des anti-oxydants. Le chocolat noir est riche en flavoroïdes (= effet d’un anti-oxydant naturel) et des fluidifiants du sang. Il est euphorisant, anti-stress, stimulant et aphrodisiaque.
Le chocolat noir améliore le fonctionnement des cellules endothéliates qui se trouvent sur la paroi des vaisseaux sanguins.
Le chocolat autrefois considéré comme un médicament.
Les Aztèquent l’appelaient « aliment des dieux ».
Au XVIIIème siècle : considéré comme nourissant et stimulant. Il était prescrit contre le rhume, la phtisie et le