Le christianisme au moyen-âge
Intro. Le Moyen Age est la période d’expansion de la chrétienté. Les païens ont été rejetés aux frontières de l’est et l’incroyance n’est pas un phénomène médiéval. Les occidentaux sont tous chrétiens. Une croyance qui évolue, une appartenance commune a une société chrétienne. Période de réforme de l’église, donc aussi de déviances. Quelle est la part de déviances ?
I. Etre chrétien c’est une croyance A. Adhérer à une religion de salut
Un culte chtonien : adorer les divinités terrestres. Le Christ a promis l’éternité de l’individu. Eternité spirituelle, donc de l’âme. Le salut est constamment présent dans la Bible. Dans la culture juive aussi, mais Jésus sauve le peuple entier. Retour à la vie des justes apparait tard dans la religion juive. Rien ne veut une espérance outre-tombe pour envoyer les gens faire le sacrifice ultime. Le purgatoire dans la chrétienté n’est pas d’origine. Se développera avec la peste noire, car les gens mourraient trop vite. Apparition d’un lieu intermédiaire bien commode, sinon tout le monde irait en enfer. Base juive du salut. Nouveauté : mort et résurrection du Christ. Dieu sauve l’individu dans la bible, avec christianisme il sauve le peuple. Les apôtres montrent Jésus comme celui faisant le dessein de Dieu. Etre chrétien c’est croire à l’au-delà. Laïcs ont du mal à établir une barrière entre le monde des défunts et celui des vivants, il y a une croyance des revenants. Pour se rassurer, cérémonies organisées par fidèles dans les cimetières pour renvoyer les morts d’où ils viennent. Eglise a du mal à les faire interdire. Au 10ème siècle Eglise admet l’existence d’un purgatoire, lieu d’accueil pour âmes en peine pour qu’on arrête de croire que les morts étaient encore sur terre. Les messes sont là pour soulager leur conscience, peur de la damnation éternelle. Tout le monde croit au diable. Par peur, avant de mourir les riches léguaient beaucoup à l’Eglise, c’est comme ça qu’elle prospérait. Ou