Le classiscisme
La France est au XIIe siècle l'une des plus grandes puissances politiques et militaires d’Europe. Malgré un nombre importants de conflits et de plusieurs guerre, le classicisme apparaît au fur et à mesure du siècle.
Ce mouvement, d'abord littéraire, se développe dans la seconde moitié du XIIe siècle, sous le règne de Louis XIV. Il exige la perfection, d'où les nombreuses règles qui codifient la littérature. Les classiques veulent rendre la littérature universelle, par conséquent, les écrivains de cette période privilégient la description d'un type humain plutôt que d'un individu et ils utilisent beaucoup les procédés d’écriture.
Le but primordial de ce mouvement est de plaire et d'instruire, comme nous le fait comprendre Horace dans sa citations datant du 1er siècle avant J-C. Cette nouvelle langue permet aux auteurs de nous faire comprendre certains côtés de leur cible, tel le fait La Bruyère dans son recueil «Les Caractères», où il peint un blâme d'un certain Gnathon, considéré comme parasite. De telles sortes, d'autres auteurs comme Boileau, utilisent des registres satiriques, dont la visée est de se moquer d'un individu. De même, il existe des maximes, principalement présentées sous la forme d'une courte phrase, parfois lapidaire, comme celle de Guez de Balzac, «Reconnaissons l'imperfection de l'homme déparé de l'homme, et l'avantage qu'a la société sur la solitude».
Quant au classicisme culturel, il se caractérise par l'école de peinture française du XVIIe siècle. En réponse aux extravagances du baroque, le mouvement s'inspire des maîtres de la renaissance classique et devient un langage pictural au service de la monarchie absolue. Le classicisme prend ses racines en Italie dans le travail d’Annibal Carrache. Désireux de revenir à une peinture débarrassée de détails superflus, Carrache revient aux influences de l’Antiquité et à une conception idéalisée de la beauté qu’il étend au