Le comédien
Le premier texte c’est Paradoxe sur le comédien, écrit par Diderot en 1773. Ce texte montre qu’un acteur convaincant est celui qui est capable d’exprimer des émotions qu’il ne sent pas vraiment. Diderot illustre donc deux sortes d’acteurs : ceux qui ressent les émotions de son rôle, et ceux qui feignent les émotions.
Cela est le contraste entre l’expression du corps et l’absence d’émotion ressentie de la part de l’acteur. Selon le texte, l’artiste doit s’en servir de son corps comme d’un instrument.
Un bon acteur doit donc faire sentir aux autres ce qui il est en train de représenter, de la tristesse, du désespoir, du bonheur mais en restant froid intérieurement.

Le deuxième texte c’est L’art du comédien, écrit par André Villiers et publié en 1953. L’auteur nous apprendre qu’un artiste est d’abord un artisan, mais quand cette artiste fait de son activité une chose monotone, il ne devient pas crédible pour les spectateurs. Le texte montre aussi que l’instrument d’un acteur c’est son corps et sa voix ; il faut donc apprendre à s’en servir de ses dons. Finalement l’auteur conseille de «restez toujours amateurs » pour être un grand comédien.

Finalement, le dernier texte s’agit de La formation de l’acteur, datant de 1920 et écrit par C. Stanislavski. Cette une ouvrage consacré à la préparation « intérieure » de l'acteur. Elle traite d'aspects comme les aptitudes qu’un acteur doit avoir, dont la concentration, l'attention, l'adaptation et l'esprit subconscient. Il affirme qu’il est nécessaire de laisser son subconscient s’intégrer avec le rôle à étudier et en ne pas oubliant d’être juste, logique, cohérent et être en communication avec le personnage.

On voit un rapport sur les trois textes : ils donnent des caractéristiques qu’un bon acteur doit avoir et les techniques qu’il doit métriser pour bien réussir d’après des différents points de vue.