La santé publique s'est mise en place lorsque des méga catastrophes se sont déclarées que l'État s'est voulu préoccupante de la santé de ses concitoyens. En effet, la santé publique s'intéresse particulièrement aux comportements que l'individu adopte, comme le fait de fumer, de boire de l'alcool, de se droguer, de faire des activités physiques ou de bien manger. La maladie est un risque. Le risque étant la probabilité que le danger survienne. La santé publique va alors essayer de prévenir le risque. Prévenir le risque c'est éviter ou réduire la gravité des maladies ou des anomalies. La santé publique va donc faire de la prévention afin que certaine maladie due a certains facteurs ne se déclenche pas. Ici, nous allons étudier le contrôle social et la santé publique. Pour cela nous prendrons appui sur deux exemples qui sont considérés comme des facteurs de risques par le ministère de la santé, le tabac puis l'alimentation.

Il existe 2 formes de contrôle social, le contrôle social direct et le contrôle social diffus.
Le contrôle social direct se remarque par la présence de loi, de justice et de police alors que le contrôle social diffus lui provient des individus eux-mêmes. En effet, les individus jugent, sanctionnent, exercent parfois des pressions et excluent même parfois, de tel sorte que les comportements soient conformes aux attentes qu'ils en ont. C'est alors pour cela que les individus adoptent des comportements, des valeurs, des conduites propre à la société dans laquelle ils vivent pour échapper à d'éventuelles sanctions. DURKHEIM nous dit qu'il ne peut y avoir de société s'il n'y a pas de consensus social. Pour appartenir à une société il faut se plier aux manières collectives d'agir, de sentir et de pensée propres à cette société. DURKHEIM nous dit que cela passe par des « manières d'agir, de penser et de sentir extérieures à l'individu et qui sont douées d'un pouvoir de coercition en vertu duquel elle s'imposent à lui.». On assiste donc à une