Le dernier jour d'un condamné, victor hugo
I
On peur relarquer que le narrateur ne nous dit pas immédiatement à quelle peine il est condamné. Il faudra atteindre la ligne 25 pour que la foule s’écrit : « Condamné à mort ». Auparavant, il ne parle que du verdicte d’arrêt et cela reste assez vague. On sait que cette peine sera lourde car il est pris d’une « sueur froide » et on comprend qu’il ne croit pas ses oreilles. Son avocat va plaider pour lui obtenir des traveaux forcés, tandis que lui il répéte « Plutôt cent fois la mort », pesant que la bagne est pire que l’échaufaud. Il écoute donc sa sentance avec une « satisfqction stupide », la tention dramatique augmente. Il comprend ce que lui est arrové que lorsqu’il est transféré à Bicêtre : « une révolution venait de se faire en moi » et c’est le premire sens du mot « révolution » qu’il faut comprendre, c’est à dire le changement capital. Sa vie bascule, il est complétement sous le choc. Il n’il y a certe aucun suspense dans l’extrait, mais la progression dramatique est là.
Cependant, ce récit dramatique n’est possible que parceque le scène est envisagée du point de vu exclusif du personnage. Cela se voir par l’utilisation fréquente du « je » qui nous permet d’être plus proches du personnage ; on ne connaît ni le discours de juge, ni celui de l’avocat, mais seulement l’impression qu’ils produisent sur l’accusé. Le dérnir paragraphe ressemble à une introspéction, car le personnage s’analuse lui-même, utilisant des verbes de sensation : « sentit », « apparaître », c’est une focalisation interne qui nous fait vivre les éléments de l’intérieur
Il y a des réaction physiques qu’on peut presque sentir : « sueur froide » ; «