Le dernier jour d’un condamné
Premièrement, dans le court extrait du chapitre treize nous pouvons bien voir en quoi cet extrait illustre la subjectivité du condamné face à sa façon de voir le monde et la vie. En premier lieu, on peut bien voir que le condamné se sert de ses émotions pour considérer les faits de la vie. Voici un court extrait pour vous le démontrer : « (…) de temps en temps aussi elle ouvrait çà et là dans les brumes grises du ciel une crevasse par où tombait un rayon de soleil. » (p.33). Cet extrait démontre bien la subjectivité du condamné face à la vie, qui est expliquée par la métaphore qui désigne la vie qui ouvre des champs de lumière dans les parties sombres de notre existence. En deuxième lieu, on peut bien démontrer que le condamné se sert de la subjectivité pour voir le monde d’une certaine manière. Voici un exemple : « Mais à peine les forçats se furent-ils dépouillés de leurs haillons de prison, au moment où ils s’offraient nus et debout à la visite soupçonneuse des gardiens (…) le ciel devint noir, une froide averse d’automne éclata brusquement (…) » (p.33). On peut bien désigner une métaphore qui illustre la considération des faits sur le monde. Donc, on peut bien voir à l’aide des deux métaphores que l’extrait illustre la subjectivité de la vie et du monde à l’aide de l’extrait du