Au XIXe siècle, plusieurs auteurs français ont contribué à faire du romantisme un courant littéraire marquant et révolutionnaire, s’opposant entièrement à l’écrivain classique en refusant de ce soumettre aux valeurs morales de son époque (capitalisme, mercantilisme) et toute autre forme de règle esthétique stricte. Parmi ceux-ci se retrouve, sans contredit Victor Hugo (1802-1885)., grand dramaturge qui touchait à tous les genres littéraire ( poésie, théâtre, roman, discours(…)). Reconnu comme étant un écrivain engagé qui avait, comme objectif, de devenir son reflet par ses œuvres, il privilégiait une écriture au service des grande causes humanitaires, mirant ainsi la misère des déshérités, des démunis, des osclus, des parias de la société. Pendant cette période historique qu’est la Restauration, où l’expérience des adolescents coïncide avec l’échec de Napoléon 1er (Waterloo) et le retour à la monarchie. Dans l’un des romans écrit par Victor Hugo, nous sommes plongés à l’intérieur de l’expérience d’un condamné à mort où il est illustré, par le biais de la fiction, la position moral de cet écrivain vis-à-vis d’une problématique sociale et LE DERNIER JOURS D’UN CONDAMNÉ (1829) ne fait pas exception à la règle. On y suit, les péripéties du narrateur, qui participe au ferrage douloureux des forçats. Par-là, à partir d’un extrait tiré du chapitre XIII donné à l’étude, analysé l’extrait suivant en démontrant comment les thématiques de la pluie et du bruit font ressortir la souffrance subie par les forçats. Ainsi dans le texte qui suit, nous porterons spécifiquement notre attention sur chacune de ces thématiques et sur la manière avec laquelle elles sont développées tout au long de l’extrait à