le dernier jours d'un condamne
La premiere paragraphe est tout entiers ironique : Hugo semble appeler au retour des supplices, des tortures les plus violentes dans l’exercice de la justice. Pas de demi- mesure, messieurs, semble dire Hugo : si vous voulez faire des exemples, qu’ils soient terrifiants ! L’anaphore de « rendez- nous » est une antiphrase destinée à souligner l’horreur d’une justice qui se fonderait sur la violence et le supplice, d’une justice qui ne serait