Le dernier jours d’un condamné
Le texte que nous allons étudier est un extrait de Le Dernier jours d’un condamné. Un roman de Victor Hugo publié en 1829 chez Gosselin, qui constitue un réquisitoire politique pour l’abolition de la peine de mort. Il met en scène les réflexions d’un condamné a mort avant son exécution. Ce roman à pour but de critiquer la peine de mort à une époque où la question de l’abolition s’est posée. On pourra donc nous demander comment l’auteur arrive à nous retranscrire l’état d’esprit du condamné avant son exécution? Pour répondre à cette question, nous commencerons par analyser le portrait du condamné avant sa condamnation, celui d’un homme comme un autre, puis nous le comparerons avec sont portrait après sa condamnation, celui d’un homme brisé et captif, moralement et psychologiquement, enfin nous finirons par révéler la critiquer que l’auteur veut nous faire passer à travers ces comparaisons.
Nous allons tout d’abords commencer par analyser le portrait du condamné avant la condamnation.
Premièrement, le narrateur insiste sur la liberté d’esprit du condamné qui peut voyager a travers ses pensées, par l’énumération « chaque jours, chaque heure, chaque minute avait son idée » (L6). Il pouvait encor penser à l’amour et à « des jeunes filles » (L9). « C’était toujours la fête dans mon esprit « (L12) il pouvait pensée à se qu’il voulait il était libre (l12), on peut donc en conclure que le condamné essaie sans relâche de trouver un issue à travers la quelle il peut s’échapper, mais il n’arrive pas.
Ensuite, nous allons étudier sont portrait, une fois condamné. En premier lieu, nous pouvons étudier la tournent dans la quelle se trouve son esprit, totalement mobiliser par l’idée de la condamnation a mort. L’idée de sa condamnation a pris possession de lui et il « habite avec cette pensée » (L2) on peut voir ici la métaphore utiliser par l’auteur, son esprit est totalement soumis à cette pensée est « courbé sous son poids » (L3).la répétition de «