Le désire
Désir du latin « desiderare » veut dire « constater l'absence de », « d'où », « chercher », « désirer ». C'est une tension vers un objet que l'on se représente comme source possible de satisfaction ou de plaisir. Pour commencer il y'a toutes sortes de désirs ceux qui sont nécessaires et ceux qui sont naturels, Épicure établit une véritable hiérarchie des désirs en les distinguant ceux qui sont nécessaire et naturel représente la survie; boire, manger, dormir. Ceux qui sont naturel mais non nécessaire: faire l'amour, manger des choses raffinés etc... et ceux qui sont ni naturels ni nécessaire; les goût de luxe, l'opulence et les honneurs.
D'où vient le faite de désirer quelque chose? Comme le montre Platon le désirs est associé au manque, «ce qu'on n'a pas, ce qu'on n'est pas, ce dont on manque, voilà les objets du désirs et de l'amours».D'après Freud lorsque nous sommes dans le ventre de notre mère nous ne manquons de rien, il ne peut avoir aucun désirs. A la naissance de l'enfant le désire apparaît ce qui se transforme comme une douleur d'un manque, plus de cordon médical, donc apparition de la distance entre le désir et «avoir envie de». Alors tout être humains deviennent par le désir? Le faite de désirer un objet c'est le faite de constater l'absence de cette objet, ce manque se voudra indispensable pour vivre, donc nécessaire? Cependant, souffrir c'est supporter, endurer ce manque de notre désirs, où l'on peut éprouver des souffrances morales et succomber au repos. Ces deux caractères éphémères se complètent, si j'ai un manque je souffre, donc j'ai le désir de combler se manque, j'en suis consciente où alors c'est par le faite que je désire que je souffre. Alors sommes nous condamnés à souffrir en désirants l'objets de nos désirs? Ou pouvons nous ne pas souffrir tout en désirant une satisfaction?Ou bien pouvons nous vivre sans désirs? Le désir est liée à la vie, conditionné pas rapport à la souffrance, nous