Le fantastique dans frankenstein de mary shelly

965 mots 4 pages
Le fantastique est un genre littéraire apparu au détriment de la philosophie du XVIIIème siècle qui cette dernière se centre essentiellement sur la raison et la rationalité. Cependant, on s’interroge si Frankenstein de Mary Shelly semble être une œuvre fantastique sombrant dans une atmosphère lugubre, dramatique et pessimiste ou au contraire c’est une tentative dans laquelle elle essaye de brosser la nature humaine dans son atrocité et sa cruauté les plus inhumaines. A ce propos, on essaierait dans un premier abord de déterminer les différents aspects du fantastique dans cette œuvre. Puis, on s’intéresserait dans un second abord de préciser comment Mary Shelley brosse une image horrifiante de la nature humaine. En ultime abord, on tenterait d’assigner les différents procédés exploités par la narratrice pour traduire la complexité de son histoire. Certes, il est vrai que nous avons affaire à un récit typiquement fantastique qui s’inspire d’un résidu littéraire et scientifique. En effet, la narratrice a transposé dans son roman un ensemble de préoccupations personnelles qui reflètent des drames vécus et un écrasement dont elle se sent victime de son entourage. Cela explique la tendance gothique de roman : noir ou terrifiant qui se repose sur des effets spectaculaires à impressionner le lecteur, comporte une dimension perverse d’ailleurs, cela prouve la combinaison des noms de deux personnages imaginés par l’auteur et la mise en jeu des éléments surnaturels.
D’une part, l’œuvre est organisée en fonction de deux forces fondamentales l’attraction et la répulsion, l’unité et l’identité et la conversion réciproque des différentes forces à cette lumière s’analysent les relations entre Frankenstein et le monstre : une appréhension générale.
En outre, l’œuvre produit plusieurs effets de surprise destinés à donner lieu à une succession d’événements et de raisonnements justes mais invraisemblables c’est le fondement d’un nouveau genre : le fantastique.

en relation

  • Schimtt article élogieux (lorsque j'étais une oeuvre d'art)
    384 mots | 2 pages
  • Le portait de dorian gray d'oscar wilde
    1111 mots | 5 pages
  • Carnet de lecture d'une nouvelle étrange et inquiétantes
    825 mots | 4 pages
  • Le royaume de lénacie premier tome
    380 mots | 2 pages
  • Le mélange des genres dans les hauts de hurlevent
    3441 mots | 14 pages
  • Résumé d'un Long Dimanche de fiançailles
    1456 mots | 6 pages
  • Kosovo
    508 mots | 3 pages
  • Ein politologue in der deutschen eishockeyliga
    717 mots | 3 pages
  • Le Rouge et le Noir est-il un roman fascinant ?
    4142 mots | 17 pages
  • Corpus
    1158 mots | 5 pages
  • Pour apprécier un roman le lecteur a t il besoin de s'identifier au personnage principal et de partager ses sentiments ?
    1599 mots | 7 pages
  • Un bon roman doit-il parler d'amour ?
    1003 mots | 5 pages
  • A la fin du roman une vie de guy de maupassant, rosalie dit à jeanne : « la vie, voyez-vous, ça n’est jamais si bon, ni si mauvais qu’on croit » selon vous, le roman doit-il avoir pour rôle d’ouvrir les yeux du lecteur
    2234 mots | 9 pages
  • Le personnage négatif de roman
    1410 mots | 6 pages
  • L'image du renouveau dans Germinal
    403 mots | 2 pages