le Français parlé au Québec
Tout d’abord, il n’y a pas seulement qu’un français, il y en a plusieurs, correspondant à des époques, des régions et des usages divers. Toutes les langues subissent ces nombreux changements. De plus, le français parlé d’aujourd’hui, celui qui est si doux et si mélodieux à nos oreilles, était, au tout début, considéré comme du latin mal parlé, du latin vulgaire. La diverse variété d’une même langue est aussi causée par l’expansion démographique à travers le monde. Donc, le français de notre époque n’a rien a voir avec le français d’autrefois. D’un autre coté, les québécois de souches, eux qui se considère comme un peuple à part entière, affirme que la langue québécoise d’aujourd’hui à vécue des transformations a travers les années et a travers la colonisation. Sur chacun des québécois importés par la colonisation, de nouvelle évolution se sont incrustées en eux avec le temps. Le français québécois d’il y a 500 ans, comme le Rabelais, n’est aujourd’hui compris que par une infirme partit de la population. Par contre, prenons par exemple l’islandais, qui n’évolue pas dans le temps de la même rapidité que le Français québécois, il est encore facile pour les islandais de comprendre l’écriture islandaise d’autre fois. Ceci dit, la langue francaise évolue beaucoup plus rapidement que certaines autres langues à cause de sa délocalisation démographique. De plus, une façon particulière de s’exprimer peut classer une personne sur l’échelle des classes sociales. Donc, une personne avec un vocabulaire pauvre sera donc considérée comme une personne monétairement pauvre. Donc, juger les gouts musicaux, les habitudes alimentaires et les vêtements des individus, suffiraient donc pour classer une personne sur une échelle salariale. Ceci