Le garons en pyjama rayé
Bruno rentre à la maison lorsqu’il retrouve Maria dans sa chambre en train de mettre toute ses affaires dans une valise. Sa mère qu’il appelle « Mère » lui annonce qu’ils vont déménager dans une autre maison pour le travail de son père qu’il appelle « Père ». Il n’est pas content car il aime beaucoup sa maison à 5 étages et surtout la rampe qu’il descendait en glissant depuis le dernier étage. Sa mère lui dit qu’il n’a rien a dire et qu’ils partent avec les domestiques.
Chapitre 2 : p. 18-26
Lorsqu’il arriva à sa nouvelle maison Bruno n’en crois pas ses yeux… elle est tout l’inverse de sa maison à Berlin : il n’y a que 3 étages, ils n’y a pas de voisins, pas de magasins. En gros il n’y a personne c’est un trou perdu au milieu de nulle part. Il parle à sa mère et lui dit que c’était une « erreur » de venir ici mais sa mère lui dit de se taire et de défaire ses bagages. Il regarde par la fenêtre.
Chapitre 3 : p. 27-34
Bruno se rend chez sa sœur, qu’il appelle le « cas désespéré » car elle est très méchante avec lui, ses amies aussi le sont, elle passe trop de temps dans la salle-de-bain et ses poupées lui font peur. Elle lui dit qu’ils devront rester pour « un laps de temps indéterminé » et il apprend que sa maison s’appelle « Hoche-Vite ». Ils discutent ensuite de cette maison et qu’il ne l’aiment pas, puis Bruno parlent des gens qu’il voit de sa fenêtre.
Chapitre 4 : p. 35-42
Les gens qu’ils voient ne sont que des garçons, des hommes et des enfants, il n’y a pas de filles. Ils ne savent pas ce qu’ils sont mais ils sont très sales et leur maisons sont étranges, ils n’y a pas d’étages ni de jardin. Ils pensant d’abord que c’est la « campagne » mais ce n’est pas possible, il n’y a pas d’animaux. Les soldats passent devant eux (les gens) et ceux-ci se mettent en rang. Ils portent tous la même chose : un pyjama rayé et un bonnet assortis.
Chapitre 5 : p. 43-56
Bruno décide d’aller parler à son père pour rentrer chez lui, il va