Goûts alimentaires dans le monde et sa mondialisation culturelle

La nourriture est en effet un point essentiel dans la mondialisation qu’il est important d’aborder.
Le problème de le faim dans le monde n’a de cesse d’être d’actualité tous les ans. En effet d’après Worldometres (site de statistiques) aujourd’hui à 19h50 : 911 805 504 personnes sont sous-alimentés dans le monde et 25 332 personnes en sont déjà mortes depuis ce matin. C’est un problème récurent qui persiste, accentué par l’augmentation de la population.
La nourriture est très mal répartie sur terre, d’après le même site, il y a 1 556 322 397 personnes en sur-poids et 518 774 133 obèses dans le monde. Ces chiffres traduisent un profond déséquilibre alimentaire mondiale.
Ainsi les Hommes n’ont pas tous le même rapport avec nourriture. Certains n’en ont pas et meurent ; et d’autre en profitent et mangent à volonté.

Passé la nécessité de se nourrir, le rapport entre l’Homme et la nourriture est essentiellement culinaire. La cuisine, est notre principal rapport avec la nourriture ; elle évolue en fonction des aliments, des préférences gustatives, et des saisons. La cuisine influencé par la mondialisation a changer nos rapport avec la nourriture.
On ne cuisine plus, on achète cuisiné. Des industriels en recherche de profit ont considérer les produits alimentaires comme simple marchandise. Les aliments respirent le manufacturé : emballage, produits identiques, grandes surface. Le rapport a la nourriture est devenu commerciale, on regarde les prix puis le produits !
Comme le dit ce billet certain groupes ont même utilisés des OGM sur le maïs notamment, le rapport à la nourriture est alors uniquement commerciale.
La mondialisation avec ses commerces a apporté la proximité avec des fruits et des légumes venant de loin.

La nourriture est indispensable mais sa commercialisation imposée par la mondialisation est regrettable. Se nourrir ne doit pas avec le temps se limiter à avaler des cachets !