Le jeu
Pratiqué lors de moments de partages en famille comme Noël, entre amis comme lors d’un anniversaire ou dans la cour de récréation, le jeu occupe une grande place dans la vie des enfants principalement.
On associe le jeu à des valeurs morales souvent mélioratives comme le partage, le rire, la famille, la stratégie ou encore le fair-play. Le « Monopoly » par exemple, célèbre jeu de société américain, rassemble ces valeurs qui sont de plus associées à certains aspects capitalistes. Néanmoins, un jeu immatériel ne rassemble pas ces valeurs. Des enfants peuvent inventer un jeu entre eux qui sera alors accès sur la créativité et fera appel à l’imaginaire. Un jeu quel qu’il soit se base sur des règles et a pour but premier de divertir. Il aboutit la plupart du temps à un gain (moral et/ou matériel) ou une perte et provoque l’adhésion du participant seulement s’il recèle une part suffisante d’imprévisibilité pour ceux-ci. Cependant, les jeux peuvent impliquer des côtés négatifs. En effet, des jeux en ligne ou des jeux de cartes comme le poker entrainent parfois une dépendance ; le jeu est vu alors comme une drogue. Pour gagner plus, certains joueurs peuvent être de plus amenés à tricher. On dit que le jeu c’est le travail de l’enfant, c’est son métier, c’est sa vie. Mais les notions de « jeu » et de « travail » ont tendance à être opposées. Le travail est associé à l’idée de contrainte et est étymologiquement un déverbal de torturer. L’adulte consacre pourtant une partie minime de sa vie au