Le joujou du pauvre
Introduction: (ne pas l’écrire. Même remarque pour tous mes commentaires entre parenthèses)
(J'amorce avec une ou deux phrases d'accroche) Le XIX° rime avec modernité. C'est le siècle de l'industrialisation, de l'avènement de la bourgeoisie et du capitalisme, mais aussi de l'urbanisation. Les poètes, qui sont aussi des témoins de leur temps, s'ouvrent également à cette modernité tant dans les thèmes qu'ils abordent que dans leurs recherches de nouvelles voies d'écriture poétique. (Je présente l'auteur et le texte sans me livrer à un exposé biographique). Ainsi Charles Baudelaire, qui a déjà évoqué le modernisme et la ville dans son recueil Les Fleurs du Mal, se tourne-t-il vers une forme nouvelle, le poème en prose, dans son recueil intitulé Le Spleen de Paris, écrit entre 1855 et 1864 et publié à titre posthume en 1869. Le poème "Le joujou du pauvre, extrait de ce même recueil, confronte alors deux enfants appartenant à des classes sociales bien distinctes, espérant ainsi sensibiliser le lecteur à ces inégalités. (Ensuite j'annonce ma problématique, soit mon hypothèse de lecture, ainsi que mon plan). Il s'agira donc de comprendre comment ce poème en prose qui présente la peinture contrastée de ces deux enfants, se présente finalement comme un apologue. Nous nous intéresserons initialement à la composition de ce tableau en diptyque avant d'analyser en quoi ce texte est un apologue.
(Je dois alors passer au développement de mon devoir et amorcer la 1ère partie à l'aide d'une ou deux phrases destinées à expliquer ce que je veux démontrer dans cette partie: je veux prouver que j'ai un tableau en deux volets donc un diptyque qui a pour enjeu de souligner les différences sociales). (Amorce) Baudelaire, qui a intitulé une section des Fleurs du mal, "Tableaux parisiens" mais qui officie aussi comme journaliste et comme critique d'art, propose dans ce poème en prose un tableau relevant