Le juge pénal et la loi
Dans l’intro 3 choses : * Délimiter le sujet : ne pas se contenter de reprendre les termes (le temps ? c’est la durée, l’instant, le tps météorologique avec la force majeure… ), quand on connaît l’étymologie c’est mieux (l’oubli vient du latin oblitare = ne peut penser à), on délimite la notion mm, est-ce une notion purement juridique ou relève-t-elle du langage commun (ex : l’oubli, contrairement à la récidive qui est purement juridique). La délimitation c’est tracer des limites autour de qq chose dc voir ce qu’est le sujet mais surtt ce qu’il n’est pas !
Et après la délimitation externe il y a la délimitation interne, c’est le contenu : l’histoire, le droit comparé, la criminologie. Du plus ancien au plus récent, du plus général au plus particulier
Et on annonce les parties bien distinctement. Jamais de phrase avec des verbes conjugués dans les titres !! Et le II. répond au I. il complète ou répond (de mm entre A. et B.).
Et on doit montrer toute notre culture juridique avec l’histoire et l’actualité, avec un style léger (les vbes et les mots doivent être justes), et montrer que le sujet est passionnant.
Savoir s’adapter à tout, donner l’impression que tout est maîtrisé.
Montrer que c’est un sujet intemporel, la récidive s’aborde différemment auj. mais la préoccupation est récurrente tt au long de l’histoire et ce ds tt les pays du monde (Three strikes on out ??)
Quels sont les rapports entre le juge et la loi depuis l’Ancien régime + un élément d’actualité !! partir sur une phrase d’un magistrat, homme politique, prévenu, condamné ou acquitté (l’assassin du petit Philippe Bertrand qui avait sauvé sa tête grâce à Badinter, qui avait tenu des propos…). Mais attention à ne pas se tromper de personne (Psdt de Harlay : « je commencerais par me cacher », alors qu’on attribue cette formule à Chateaubriand).
Le volume d’une bonne intro c’est l’équivalent d’une sous-partie, càd au moins 30 lignes. Et la bonne copie c’est au