Le lac de lamartine : analyse
I-L'obsession du temps
La fuite du temps est un terme majeur de la poèsie lyrique avec l'amour, la nature, la mort. Dés l'antiquité, les poète se sont exprimé sur ces thèmes universel.
Ainsi les romantiques vont très logiquement s'exprimer aussi sur ces thèmes et Lamartine dans Le Lec se montre obsédé par la fuite du temps,
L'obsession du temps se lit à travers un champ lexical très développé « la nuit éternelle » vers « l'année fini à peine sa carrière » vers « temps, suspend ton vol » vers « le temps m'échappe » vers ,
La première strophe pose une question sur la destinée humaine comme on peu le voir grâce à l'énonciation: Lamartine utulise le nom qui a une valeur universelle. De plus, il présente l'homme comme subissant un destin qui le dépasse comme le verve 1: poussé et 2: emporté tout deux verbes de mouvements.
Cette strophe assimile la vie a une navigation comme les mots rivage, océan, jeter l'ancre et confirmé par le vers 13 avec « nous voguions ». Ainsi ver 2 nous comprenons mieu l'expression « la nuit éternelle » désigne la mort inéluctable et inexorable.
Les vers 3 et 4 expriment quand a eux de manière très imagé le désir puissant de l'homme à arrêter le cour du temps.
Quand il passe a la deuxième strophe, beaucoup de choses changent, on n'est plus dans la généralité mais dans son cas particulié. L'énonciateur en ateste ver 4 avec le pronom « Je » et 8 avec « La ». L'expression du temps ver 5 est plus discrete et implicite.
Au ver 7 et 8, il oppose le présent de sa sollitude au passé de son couple.
A partir de la sixième strophe, le poète redonne vie à celle qui l'a aimé en rapportant ses paroles au discourt direct donc en lui redonnant une forme de présence concrète.
Dans les vers 41 et 44 on lit la colère du poète contre le temps qui passe en effaçant tout, à travers les exclamations et les ruptures rythmiques qui sont comme une tentative dérisoire de lutter contre le temps.
II-L'importance de la nature
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