Le lac
Avant tout, Lamartine écrivit le poème au bord d’un lac, ce qui va l’emmener à solliciter la nature conservatrice. Il s’adresse à elle tout au long du poème. On peut le remarquer grâce à l’apostrophe qui met en évidence l’interpellation à celui-ci, soit par exemple : «Ô lac!».(v.5) Ensuite, le déterminant possessif à la 2e personne vient refléter que le locuteur, avant tout, s’adresse au lac, puis ensuite l’environnement devient plus intime pour lui («tes ondes», «tes flots», «tes orages»). Cela résume que le poète est obsédé par ce thème.
Parallèlement, la nature est omniprésente pour Lamartine. Cela s’explique par la présence d’un champ lexical de la nature («rivage», «océan», «pierre», «orages»). Cela démontre plusieurs aspects de l’environnement que le poète utilise. Tout en continuant, il utilise le pronom personnel à la 2e personne du singulier pour mettre en évidence que la nature est partout, soit omniprésente («Tu la vis», Tu te brisais»). On aperçoit que l’environnement est en grande disponibilité pour jouer un rôle quelconque. À la lumière de ce qui a été dit, le poète remarque que la nature joue un rôle conservateur.
Par ailleurs, en découvrant que Julie Charles est décédée, Alphonse est pris d’un grand désarroi envers le temps