Le libraire
Tpout comme le dernier roman qu’’on a lu, Le Sourvenant, EL roman Le Libraire ¬¬
Dernièrement on a lu quelques œuvres écrites par des auteurs québécois, des œuvres qui comprennent un langage recherche et des styles d’écritures variées. Le dernier roman qu’on a etudiee, Le Survenant, marque la fin d’une epoque, Le libraire, quant a lui inaugure une nouvelle ere. D’ailleurs on observe que l’auteur utilise des termes specifiques comme : libre-ere, libre-aire, libre-air, etc. ¬LE roman qu’on analyse présentement, intitulée Le libraire, amorce la découverte de l’utopie. C’est l’histoire de Hervé Jodoin, qui a perdu son emploi de répétiteur au collège Saint-Étienne, à Montréal, et il est prêt à accepter n’importe quel boulot, du moment qu’il y ait peu à faire et qu’on le laisse tranquille. Quand, au bureau de chômage, on lui propose un travail de commis dans la librairie d’un petit village, Saint-Joachim, à plusieurs heures de la grande ville, il n’hésite pas : “Saint-Joachim ou ailleurs, je m’en balançais.”
Sau
On vient d’achever la lecture du roman Le Survenant, un roman qui marque la fin d’une epoque. Presentement on traite d’analyser Le Libraire, un roman qui inaugure une nouvelle ere, comme c’est specifie a pluisieurs reprises: libre-ere, libre-aire, libre-air, etc. GErard Bessette publie en 1960 ce roman québécois dont Jodoin, le personnage principal, a fait ses comptes avec ses semblables et la société. Il s'est retiré en lui-même à l'abri des obligations et des contacts humains. Mais il est aux prises avec deux malédictions : celle de gagner sa vie et celle (autrement plus grave) du temps. Le jour, il somnole à la librairie où il a trouvé un emploi de commis. Le soir,