le lite de bernadette
Nous pouvons nous apercevoir que Fantine est victime de la déchéance et vit dans la misère.
Cette misère est tout d’abord matérielle. Hugo nous plante le décor de son cadre de vie. « Cellule », « mansarde […] sous le toit » et « galetas » (l.18-19), une accumulation de noms à connotation négative montrant la pauvreté de l’habitation de Fantine. Il fait de même pour évoquer le mobilier lorsqu’il écrit « une loque qu’elle appelait sa couverture, un matelas à terre et une chaise dépaillée » (l.22-23). Grâce à cette nouvelle accumulation de noms péjoratifs, il prouve que la pauvreté est très profonde. Il illustre ses propos en évoquant les vêtement de Fantine, ce qu’il fait en utilisant les termes négatifs « vieux et usé », « se déchirai[t] » (l.31-32) à propos du corset, « sales » (l.28) à propos des bonnets et « us[és] » à propos des talons. Le dénuement de Fantine ne s’arrête donc