Le livre des Rabinovitch
Zalman
Vit à Munsk, en Pologne.
Il est le premier de sa famille à entamer des études, car son père, son grand-père, son arrière grand-père… avant lui étaient tous tailleurs. Mais il abandonne et tombe dans la déchéance : dilapidation de l’argent, ivresse fréquente, bar à putes…
Il abandonne sa famille (sa femme et ses 3 enfants).
Il prétend avoir rencontré « l’Ange du Tout-Puissant » qui lui aurait ordonné d’avertir les Juifs d’un pogrom imminent.
Léa
Femme de Zalman (mariage forcé et organisé par son père).
Dès son enfance, son père lui apprenait que le rôle de la femme était de faire des enfants et de les éduquer.
Elle se retrouve à devoir élever ses 3 enfants seule (elle en attend un 4e). Zeboulon, le frère de Zalman, lui demande d’héberger un communiste recherché pour activisme politique qui tentait d’échapper à la prison. Elle accepte uniquement car Zeboulon lui donne de l’argent et qu’elle et ses enfants survivent grâce à ça. Le communiste était un goï (non-juif).
C’est Zalman qui les avertit du pogrom, ils ont tout juste le temps de fuir.
Elie
Fils de Zalman et Léa. À 10-12 ans, lors du pogrom, c’est lui qui guide sa mère et ses sœurs pour fuir. À Bruxelles, comme il parlait Allemand et Polonais, il représentait l’Allemagne, l’Autriche, la Suisse et la Pologne dans une entreprise qui fabriquait du verre. Il devait souvent partir dans des pays où l’on détestait les Juifs…
Il a un enfant avec Simone. Simone était une communisante de gauche. Elle faisait partie de différents organismes. Simone le quitte pour un autre homme et meurt quelques temps plus tard dans un accident de voiture. Elle était avec son amant, elle conduisait et lui s’en est sorti indemne.
Leur fils s’appelle Nathan. Elie prend le rôle de père de Nathan pour Ernest, qu’il faut changer d’école (problèmes d’homosexualité, voir Ernest). Il l’emmène voir un psy.
Elie rencontre Rozman, qui aide sa famille à leur arrivée à Bruxelles et joue le