Le loup et l'agneau
- l’essentiel sur le classicisme
- définition des mots « fable » , « apologue », « anthropomorphe », « périphrase »
- repérer les fins de phrases
- décompte des syllabes par vers ( attention au e muet)
- repérer temps des verbes
- repérer marques de l’énonciation
- quels registres repérez-vous dans la fable ?
1.Un apologue :
- phrases et nb de vers + temps + métrique
La morale
Une phrase de deux vers = la morale (explicite/début) dans un bel alexandrin, ample et très cadencé (4x3) + allitération en R -> résonne et est devenue très célèbre et le narrateur-moraliste = registre didactique (montrer)
< présent de vérité générale -> leçon à en tirer, valeur universelle (# ce que voudrait LF !)
Dans le deuxième vers : présent de l’énonciation par le narrateur
-> côté toujours vivant, contemporain de la fable : c’est toujours La Fontaine qui nous parle à chaque fois que par la lecture, on actualise le poème : « tout à l’heure » = maintenant, tout de suite
Le récit illustratif (phrases / verbes/métrique)
Une phrases de deux vers = situation initiale / présentation de l’agneau surprise
< circonstances de péripéties : « à jeun/la faim » => tension dramatique
= situation mise en place en 4 vers , deux personnages fortement contrastés (taille/nature/couleur) , circonstances qui font attendre la suite
=> le récit reprendra à la fin : trois vers = le dénouement/ huit syllabes comme pour l’agneau
=> deux lieux/deux personnages : « l’onde/pure/le courant » # « le fond des forêts »
=> incarnation de deux types humains : l’innocence et la barbarie/ la victime et le tyran
+ à la fin : le récit toujours au présent de narration : « l’emporte et puis le mange » = brutalité + l’acte en train de se faire -> cruauté en actes.
A l’intérieur du récit : le dialogue
(quelques incises soit au présent, soit au passé simple)
Présent de l’énonciation : caractéristique du discours/ théâtre = mimésis.
// fable