Argumentation
Sujet : Justice, force et pouvoir dans quelques fables de La fontaine

Le Loup et L’Agneau

INTRODUCTION : Le Loup et L’Agneau. Nous avons à faire à l’une des fables les plus connues de l’œuvre. Elle fait partie de la 1er livraison, celle de 1668 qui se situe en 10e positions dans le livre I.
Brièveté et sa célèbre moralité initiale en fond l’une des plus fortes illustrations des rapports de force qui se jour entre les différents personnages des Fables.
Nous verrons :
1- Action conduite : termes de manière aussi inéluctable que prévisible qu’efficace. Nous ferons ça en s’appuyant sur la composition du texte qui propose discours et récit.
2- Ensuite la caractérisation Loup/Agneau passe principalement pare qu’ils disent eux-mêmes, participe à l’illustration de moralité initiale et délivre une part de la morale de La Fontaine sur place de force et droit dans la société des hommes (et pas des animaux).

DEVELOPPEMENT :

I- CONDUITE DE L’ACTION : UNE AFFAIRE REGLEE A L’AVANCE Titre de la fable : déséquilibre dans les rapports de force qui pourrait s’établir entre les 2 personnes. Prééminence est donnée au loup.

1)L’art de débuter : Rôle du récit dans les vers 1 à 6.

* Vers 1-2 : Une moralité initiale délourante en évidence. « La raison du plus fort et tjr la meilleure ». Car la force et la force et ce n’est pas la raison. Est-une provocation ou un constat incontestable et inévitable ?
Le plus fort l’emporte toujours sur le plus faible : permet souvent d’avoir le dernier mot => démonstration qu’on nous permet peut nous intriguer mais peut aussi paraître comme étant comme une énième représentation image => plaisante mais gratuite, facultatif d’un état de fait comme de tous.
Les deux premiers vers sont un commentaire de l’auteur marque le lecteur par leur force.
=>On passe de l’alexandrin à l’octosyllabe, une forme de réduction qui cherche la simplicité, a brièveté, la promesse d’une situation d’une démonstration immédiate =>