Le malaise dans la culture
Chapitre 1 = notion de soi / sentiment religieux
@Les sentiments ne sont soumis ni a une expérimentation ni a une élaboration scientifique => exemple de la religion.
@Le seul sentiment assuré est celui de notre soi propre. Notre moi est donc ce qui reste après avoir exclus le monde extérieur (a priori source d'objets, d'événement désagréables).
@Le sentiment de soi de l'adulte passe par un développement
Les phases antérieures du développement ne sont pas conservées, elles sont absorbées => Exemple de la métaphore de l'évolution de Rome et du physique d'un embryon pour arriver au corps d'un adulte).
@Hypothèse considéré comme réaliste par Freud : un sentiment "océanique" (car sans bornes, le terme est apparemment choisi par Freud et non par son ami) est propre aux croyants.
Chapitre 2 = la religion et le bonheur de vivre
@Analyse du rapport entre homme du commun et religion.
Peut-on considérer qu’il y a opposition entre les sciences ou les arts et la religion ?
« Définition » de la religion = remède sédatif permettant de supporter la vie (cf page17).
@Moyens de défense par rapport a la souffrance :
Quelle est la finalité de la vie ? Dominance du programme de principe du plaisir, mais les possibilités de bonheur sont limités par notre constitution. Une orientation possible de la vie peut aussi prendre pour centre l’amour.
Le bonheur est il vraiment souhaitable ? Il peut aussi induire la souffrance=> Exemple des drogues prises « pour atteindre le bonheur », l'effet recherché étant celui naturellement produit par nos hormones (si on suppose qu'il s'agit des substances qu'il prétend inconnues).
@La religion est en opposition avec la recherche personnelle et propre a chacun du bonheur puisqu'elle l'oblige a prendre sa voie.
Chapitre 3 : La culture.
@Il existe 3 sources de souffrances, dont une seule est plus ou moins contrôlable (p28).
Il existe notamment une souffance liée aux progrès techniques,