Le maquillage
Il est utilisé depuis l’antiquité.
Pour certain peuple le maquillage du visage et du corps reste un moyen d’expression (religion, rang social, théâtre)
L’Egypte :
D’après l’étude des visages trouvés dans les tombeaux, c’est sûrement en Egypte qu’est né le maquillage. Leur maquillage est assez soutenu, le teint est coloré, les yeux cernés de noir ou de gris (khôl), les paupières ombrées par la malachite ( minéraux de cuivre de couleur verte ) et les lèvres sont rarement maquillées.
La Grèce antique :
En Grèce, notamment a Athènes et Sparte, le maquillage est un temps interdit et réserve aux courtisanes.
La beauté est avant tout masculine, harmonie des proportions du corps et des formes idéales.
Au 12ème set 7ème siècle avant notre aire, l’accent est mis sur la propreté.
Selon Hippocrate, chacun se doit de faire l’exercice physique régulier, des bains fréquents (à base d’huile d’olive, d’amande ou de sésame.)
On se lave les cheveux et les dents, on s’enduit le corps avec des onguents aromatiques.
Blonde ou russe, le teint clair est préservé.
Jusqu’au troisième siècle on ne se maquille pas ou peu à l’exception des sourcils qui doivent avoir la forme d’un arc unique et se touchent.
Le maquillage est plus léger, le teint est éclairci avec une crème à base de farine ou de craie, les joues crossées, les yeux agrandis au Khôl et les paupières noircies.
La Rome Antique :
Au début de l’empire, à Rome les patriciennes passent des heures au bain. Elles se maquillent et se lavent méticuleusement chaque matin. Leur maquillage est lourd et chargé, le teint est clair avec une crème qui est un mélange des craies et vinaigre, les sourcils sont épilés et accentués avec de la suie noire et les joues colorées avec des colorant végétaux et animaux.
Le Moyen Âge :
Le maquillage est jugé diabolique et considéré comme un subterfuge qui dissimule l’horreur et la puanteur réelle du corps et de l’âme. L’amené à la luxure et à la