Le marché des droits à polluer MAEVA
Elle n’a cessé de croître, et à des conséquences alarmantes sur le climat de la planète et sur la santé collective.
Elle à un impact négatif sur l’environnement et représente pour la collectivité un coût sur la production, un coût social et un coût public
Ces externalités sont préjudiciables au bien-être et à la santé collective.
L’absence de taxes sur les émissions de gaz à effet de serre à contribué à ce que les agents économiques que sont les entreprises ne régulent pas d’elles-mêmes leurs émissions.
Celles-ci prenant leurs décisions seulement en fonction de leur productivité privée et des prix fixés sur le marché des offres et des services.
Cette surproductivité d’énergie et d’émissions de gaz à effet de serre est parallèle à l’évolution industrielle et économique mais n’est pas le résultat d’une interaction entre des agents économiques sur un marché.
Elle a néanmoins un impact sur toutes les collectivités.
2. Le marché de droit à polluer a été mis en place par la Communauté Européenne.
Ce marché à un enjeu politique et environnemental et vise à limiter les émissions de gaz à effet de serres rejetés par les industries faisant parties de la Union Européenne.
La contribution globale des Industries à l’effet de réchauffement climatique représente à elle seule 21% au niveau mondial. C’est donc un problème qu’il faut urgemment régler.
Basé sur un système « pollueur payeur » ce marché a pour but de répartir les coûts dus à cette pollution de manière plus efficace et de faire baisser l’émission de gaz à effet de serre grâce à ce système de quotas qui inciterait les entreprises à investir dans des procédés visant à réduire ses émissions. Dans la mesure où elles n’utiliseraient pas tous leurs quotas de droit à polluer, les entreprises sont autorisés à revendre leurs quotas inutilisés à d’autres entreprises qui auraient elles dépassées le leur. Elles alimentent ainsi le marché par