LE MARIAGE INTERRACIAL ET LA NOTION DE TOLÉRANCE

Dans le cadre du cours de Philosophie et éthique, présenté à
Monsieur Dany Gravel.

Fait par
Stéphanie Lamarre

La Cité Collégiale, le vendredi 9 décembre 2011.
Auparavant, les couples interraciaux se cachaient de la société. Dans certains pays les sanctions pour un mariage entre deux ethnies différentes étaient très sévères et cela a changé il n'y a même pas une décennie. Les choses ont changé, le mariage est de libre choix. Maintenant que le mariage est « toléré » on se questionne, le mariage interracial est-il une leçon de tolérance ? Le texte qui suit débat sur cette question en apportant comme arguments les concepts de tolérance épistémologique, politique et morale, les camps opposé à eux et une opinion personnelle. Il faut souligner que la tolérance a une connotation bien différente pour certains. En fait, la tolérance représente l'habileté que peut avoir une personne à accepter les choses et les situations qui sont soit contre ses convictions personnelles ou celles de la société. Alors on ne tolère pas nécessairement parce qu'on le veut, la tolérance nous est parfois imposée. Pour d'autres, la tolérance est plus politique et est mise en pratique lorsqu'une personne est plus ou moins neutre face à un sujet. Ce qui n'empêche pas le fait que la tolérance est une leçon, sans se soucier du contexte. Maintenant le terme mariage interracial. Ce dernier est une union matrimoniale entre deux personnes d'ethnies différentes. Ces personnes sont souvent aussi de religions différentes. Si on met ces deux termes ensembles, tolérance et mariage interracial, on obtient la tolérance du mariage interracial. D'un côté on pense que le mariage interracial est naturel et qu'il n'exige aucune tolérance et du côté antagoniste, on voit les faits réels du passés et du présent et on réalise que ces unions sont bels et biens des leçons de tolérance. Non seulement pour la société, mais