Le marketing du luxe
Lois Marketing de Luxe Marketing traditionnel
Oubliez le positionnement, seule compte l’identité de marque • Pas de positionnement par rapport à un concurrent (l’identité ne se divise pas, ne se négocie pas, elle « est » et non « cela dépend »)
EX : Christian Lacroix : imaginaire solaire, univers du sud, haut en couleur = imaginaire se puise pas d’un créneau avec opportunité de business mais dans identité de l’homme → clients ne comparent pas à produit alternatif mais séduits par identité
• L’essence de la marque se trouve dans son prisme d’identité (différentes facettes)
• Ne part pas du client
• Ne se soucie pas de sa concurrence
• Crainte : la copie Obsession de prendre le client de l’autre marque
• Positionnement par rapport au concurrent véhiculé à travers 4P
• Avantage concurrentiel unique (marque réduite à une seule facette)
• Adaptation de la stratégie en fonction du pays
• Part du client
• Peur : l’indifférenciation, la banalisation
Votre produit a-t-il assez de défauts ? • Pas dans une quête utilitariste, fonctionnelle mais hédoniste et symbolique.
• Produits doivent avoir du caractère (avoir des défauts)
• Zéro défaut = lissage ultime des impressions fortes (absence de bruits, de vibrations).
Ex : Montre de luxe prend 2 minutes de retard/an = défaut connu + assumé + fait son charme et garantit l’authenticité
Ex : Montres n’indiquent que 4 chiffres → besoin de deviner le temps → connaissance précise pas prioritaire Objectif : perfection → manque brin de folie pour être dans le luxe
N’adaptez pas toujours le produits aux demandes de vos clients FCS BMW ? promesse de marque respectée (« le plaisir de conduire ») + actionnariat familial et stable (privilégie long terme et réputation) + culture d’entreprise très allemande (le produit avant tout) + popularité fondée sur l’expérience de conduite (sensations fortes, vitesse) plutot que statut + reste authentique car sait refuser demandes des clients