Le mendiant
Le mendiant apparait comme un homme miséreux «je me nomme le pauvre » (v.12), «Un pauvre homme… » (v.1) laissé de vivre. Il porte des habits usés « son manteau, tout mangé de vers, et jadis bleu » (v.18) ce qui donne l’impression qu’il mène une vie difficile. Victor Hugo utilise la métaphore pour montré que le vieillard vie en dessous de l’échelle social « C’était le vieux qui vit dans une niche au bas de la montée … » (v.6 à 7) elle est représenté par la monté.
Nous assistons à une scène d’hospitalité entre le narrateur et le mendiant celui-ci sera invité à sortir du mauvais temps « ... dans le givre et le vent. » (v.1) et a venir se réchauffer « venez vous réchauffer un peu. » (v.10). Lors de sa description Hugo a l’air attendrit par le mendiant il parle de lui avec une sorte d’admiration « entrez brave homme. » (v.12) mêlé a de la pitié « le vieillard grelottais de froid ; il me parlait, et je lui répondais pensif et sans l’entendre » (v.14 à 15). Il avait observé l’homme auparavant et avais pu remarquer qu’il avait une vie triste et solitaire « C’était le vieux qui vit dans une niche au bas de la montée, et rêve, attendant solitaire, un rayon du ciel triste… » (v.6 à 8). Ce qui ne le laisse pas indifférent.
Mais il voit-en cet homme de la bonté « je songeais que cet homme était plein de prières … » (v.24), il représente pour Hugo un messager de Dieu. Il utilise la comparaison pour représenter le ciel «