Le monologue de figaro
Figaro se présente dans son monologue grâce au « je », il exprime se façon de penser chose rare chez le valet, le valet ici dénonce son maitre qui veut profiter de sa femme « Après m'avoir obstinément refusé quand je l'en pressais devant sa maîtresse ; à l'instant qu'elle me donne sa parole; au milieu même de la cérémonie... Il riait en lisant, le perfide ! Et moi, comme un benêt !... Non, Monsieur le Comte, vous ne l'aurez pas... vous ne l'aurez pas. » Les points de suspension exprime clairement le mécontentement de Figaro. Figaro parle aussi de son métier de vétérinaire, trait de caractères que nous savons rarement chez un valet type. Figaro nous parle de son enfance qu’il na pas eu une jeunesse facile « Fils de ne je sais pas qui, volé par des bandits, élevé dans leurs mœurs, je m'en dégoûte et veux courir une carrière honnête » Figaro aimerai mener une carrière paisible mais il ne peut pas en raison de son milieu social. Figaro se plaint qu’il est partout repoussé « et partout je suis repoussé ! » L’exclamation dévoile le profond mécontentement de Figaro. Les traits de personnages de Figaro ont des ressemblances avec le valet type. L’amour qu’il porte à Suzanne « Oh femme ! femme ! femme » Suzanne est une femme de chambre elle donc du même milieu que Figaro. Comme nous pouvons le voir dans les pièces de Marivaux les