Le phedre
I Topo de l’œuvre Le phèdre est un dialogue de platon (427-346 av JC) écrit vers 370 av Jc, Platon écrit ce discours à la fin de sa période de maturité car elle reprend la forme de cette période qui consiste aux dialogues, il fournit par rapport à la méthode socratique : la théorie des idées. Et fait la transition avec sa période de vieillesse car il soulève le problème de l’amour et de la réthorique.
II Topo du passage
Socrate s’interrompt au beau milieu de son discours : « Et moi qui me figurais que tu n’en étais qu’à la moitié et que tu allais l’équilibrer avec un développement sur celui qui n’aime pas » (241 d) : Socrate n’a en effet envisagé que l’intérêt de celui qui aime (ce serait selon Lysias d’aimer celui qui ne l’aime pas), il n’a pas encore envisagé l’intérêt de celui qui n’aime pas. Socrate pourtant refuse d’aller plus loin. Une purification est nécessaire : les précédents discours ont blasphémé contre l’amour. Il effectue donc dans ce passage une palinodie : Rétractation, changement d'opinion soudain.
III Lecture
IV Problèmatique : En quoi une palinodie est-elle nécessaire ?
La rétractation de Socrate met-elle en avant une critique du discours de Socrate ?
L’impiété est-elle primordiale dans ce discours ?
V Thème
Nécessité d’une palinodie entre deux discours acfférents sur le fond et la forme.
VI Thèse
Besoin de Socrate à faire une palonidie car le discours qu’il vient de prononcer n’est pas sont point vue car il a a fait comme lysias et à envisager le problème que sous un angle - critique du fond et de la forme du discours de Lysias.
VII Analyse du texte La palinodie.
a) Continuer le discours est inutile, les désavantages de l’amoureux sont les avantages du séducteur non amoureux.
(« Phèdre. Je croyais bien (…) de quoi s’agit-il ? » 241d-242b, pp.134-135)
b) Le signal divin (ou signe démonique) de Socrate lui indique qu’il a