Le photojournalisme etude
Le photojournalisme a évolué, dans le document 1 « Mort et résurrection du photojournalisme » extrait du journal Le Monde diplomatique, écrit par Christian CAUJOLLE en 2005. L’Auteur parle des images prises par des amateurs et montrées par les médias sur les tortures dans la prison d’Abou Graib en Irak, et du Tsunami en 2004. Cela marque la fin d’une époque pour le photojournalisme.
De plus les images diffusées sur les tortures en Irak, nuisent à l’image démocratique des Etats-Unis
On peu également remarquer que la concurrence faite par des amateurs a une influence sur le public car par rapport aux professionnels les photos prises par les amateur sont transmises et diffusées plus rapidement. Il y a donc un changement de la fonction du photojournalisme car tout le monde peu fabriquer des images et les diffuser.
Il y a un problème qui persiste également sont les médias, car n’importe qui peut créer avec un téléphone portable performant toute sorte d’images essentiel montrant un fait divers important par exemple.
La solution a ce problème sont les auteurs-créateurs et les vrais photojournalistes car eux seuls sont les sauveurs des médias.
Dans le document 2, extrait du roman « Question de chance » écrit par Christine Amothy en 1995, propose un dialogue entre deux personnages, Dofer le photographe et Gérard Martin, lors du conflit au Zaïre qui oppose les Tutsis et les Hutus.
Dofer a photographié Gérard Martin quand il a prit un enfant noir pour le sauver, le photographe demande à publié la photo en couverture car elle symbolise l’Occident perdue et désemparée de plus cette image montre la solidarité. Cependant la photo de l’enfant mort déposé au bord de la route ne sera pas diffusée car c’est une image trop pénible a regarder.
Dans le document 3, «Tant de clichés et si peu d’images… » extrait du journal le Monde diplomatique, écrit par Edgar Roskis en 2003, nous montre que dans les années 60-70 qu’il existait déjà des dizaines de photo