Le pilotage de la coordination pédagogique d'une école supérieure de commerce
Sommaire
Introduction page 1
1 La coordination à l’IPAG page 3
1.1 Le rôle de la coordination pédagogique page 3
1.1.1 Une obligation de moyens page 4
1.1.2 Une obligation de résultats page 6
1.2 Les outils de pilotage existants page 8
1.2.1 Un outil informatique performant page 9
1.2.2 Des réunions régulières page 15
2 Un rôle de préparation page 17
2.1 Comment piloter la phase de préparation page 17
2.1.1 La modification des règles page 17
2.1.2 L’informatique au service du pilotage page 21
2.2 L’organisation, mise en oeuvre de la préparation page 26
2.2.1 L’exploitation des bases de données page 27
2.2.2 Le compte rendu d'activité page 33
3 Les implications d'un tel contrôle page 38
3.1 Les limites page 38
3.1.1 Une forte culture d'entreprise page 39
3.1.2 Le contrôle des professeurs page 41
3.2 La standardisation, un gage de qualité page 45
3.2.1 Une qualité nécessaire au développement page 46
3.2.2 Vers les techniques du futur page 47
Conclusion page 50
Introduction
L'enseignement technique supérieur en France se décline aujourd'hui sous deux formes distinctes. Nous avons d'un côté le service publique composé d'universités et de formations dites "courtes" (I.U.T., B.T.S., …) qui n'ont qu'un objectif limité en terme de performance. D'un autre côté, les organisations privées qui doivent justifier le prix de leurs prestations par une recherche constante de qualité et d'innovation destinée à leurs enseignements.
L'IPAG, école supérieure de commerce, appartient à la seconde catégorie. Cette institution est donc condamnée à améliorer sans cesse la qualité de ses cours et par conséquent la qualité de la gestion de ceux-ci. Pour cela, l'école dispose d'une organisation adaptée à son activité pédagogique. Cette dernière est répartie sur quatre années d'enseignement. Chaque année d'étude se caractérise par une alternance entre