le piree
BIBLIO / (cf biblio de R. Etienne, la ville à l’époque archaïque)
Roland MARTIN, L’urbanisme dans la Grèce antique, 1956
R. ETIENNE, Archéologie historique de la Grèce antique
R. ETIENNE, Athènes. Espaces urbains et histoire des origines à la fin du IIIe siècle ap. J.-C., 2004
Fr. de Polignac, « Analyse de l’espace et urbanisation en Grèce archaïque », REA, 108, 2006, p. 203-223
Jean-Marc Luce, Habitat et urbanisme dans le monde grec de la fin des palais mycéniens à la prise de Milet, 494 av. J.-C., Toulouse, 2002
Monique Redde (éd. ), La naissance de la ville dans l’Antiquité, 2003 (Argos, Mycènes, Naucratis ..)
Sources littéraires
HDT : sur les travaux de Pisistrate à Athènes et Polycrate à Samos
INTRODUCTION
Polis : asty et chôra
Pour l’époque géométrique :
100 sites en 1996, 800 tombes et de l’habitat découvert que sur 50 sites
Car habitat rudimentaire qui n’a pas laissé de traces archéologiques
D’autre part, les constructions de la période classique ont détruit l’habitat antérieur
Attention : la cité grecque est un ensemble politique qui peut survivre à la destruction du principal centre urbain
THUCYDIDE, I, 10 : LA VILLE N’EST PAS LE JUSTE REFLET DE LA PUISSANCE DE LA POLIS « Si la cité de Lacédémone était détruite, s’il ne restait que les sanctuaires et les fondations des édifices, la postérité, en les comparant à sa gloire, ne croirait plus beaucoup, après un temps, à sa puissance … , car il n’y a pas de ville faite de constructions continues, utilisant sanctuaires et édifices luxueux ; la population suivant les anciennes habitudes de la Grèce, est répartie dans les villages ; sa puissance paraîtrait ainsi bien inférieure à la réalité. Si Athènes subissait le même sort, à l’aspect extérieur de la ville, on imaginerait sa puissance au double de ce qu’elle est. »
HANSEN, An inventory of greek poleis, Copenhague
Classement de toutes les cités connues en estimant la taille de leur territoire