Le plaisir en EPS de 1880 à nos jours
Gagnieres et Lavie,2007 « le plaisir en eps : futilité ou nécessité ? »
Liotard, 1997 « l’EP n’est pas joué »
Travail historique, il essaye de voir (statut accordé au plaisir en EPS : le bilan de sa recherche est que le plaisir n est pas le bienvenu en EPS, ou quand on intègrera le plaisir pas comme une soi en fin mais le myen d’atteindre quelque chose de supérieur l effort. Le plaisir n est pas la finalité recherché. Considéré comme un moyen ou subterfuge Faire accepter le travail scolaire ( tromperie )
Jacques Gleyse et G.Duicssant « l’ EP inversé »
Reprennent le constat de Liotard , en France on ne s’appuie pas prioritairement sur le plaisir, longtemps en Angleterre ils ont pensé le sport comme détente, amusement … En France on a choisi une autre voie effort, méritocratie ,contrôle de soi, poids de l’intellect qui impose a l EP de prendre d’autres priorités que le plaisir.
Pour eux l ep en FR c est trompé de voie , devrait etre une discipline
Pas d eval et la fnalité de la discipline devrait etre le plaisir pour le plaisir
Deligneres et Garceau
La construction d’une relation de plaisir aux APSA doit etre le contenu d’enseignement principal de la discipline.
Le plaisir de réussite, la joie de progresser fonde l’EPS .
Cette question du plaisir renvoie a une dialectique plaisir / effort ou jeu / travail. C’est uen débat philosophique déjà.
Les épicuriens : privilégie le plaisir immédiat carpe diem. Sans arret dans l’amusement, plaisir hédonique. On ne repousse pas à plus tard, profiter de l instant présent
Stoïcienne : Tourné vers l’effort. Le plaisir sera une récompense de l’effort. L’amusement sera une récompense du travail. Ce n’est pas le plaisr la priorité. DELIGNERES ET GARCEAU
On retrouve ces deux conceptions à l’école et donc en EP.
Définition du plaisir
On peut partir des motifs d’agir selon Durand, 1987 :
- hédonisme
- motif d’affiliation
- motif